
Le non marchand alerte et réclame : “il y a urgence !”
La pénurie de personnel de santé n’est plus seulement un problème de conditions de travail. Elle crée une hypothèque sur la santé de toute la population dans les prochaines années.
Le CBCS relais – Aperçu de l’information sociale-santé

La pénurie de personnel de santé n’est plus seulement un problème de conditions de travail. Elle crée une hypothèque sur la santé de toute la population dans les prochaines années.

A Bruxelles, le Plan Social Santé Intégré (PSSI) et le Plan Interfédéral pour des Soins Intégrés (PIF) dessinent les contours d’une réorganisation territoriale de l’offre de l’aide et des soins de première ligne. Au-delà de ce cadre politique, qu’en est-il sur le terrain ? Une page web pour rassembler les informations et alimenter la réflexion.

Dans le cadre du contrat de gestion de l’Office de la Naissance et de l’Enfance 2021-2025,
le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’ONE souhaitent soutenir la
création de deux Espaces Parents dans la Séparation (EPS) en Fédération WallonieBruxelles.

Avec la crise, l’explosion des coûts, la précarité galopante et des subsides en initiatives qui ne sont pas indexés contrairement aux salaires, les services sociaux à Bruxelles sont au bord de l’implosion. Les employés du secteur social et de la santé seraient quant à eux sur le fil et peineraient à maintenir leurs missions d’utilité publique, sociale. C’est le cri d’alarme lancé par l’Interfédération ambulatoire (IFA) dans une lettre ouverte publiée en novembre dernier. Explications avec Alain Willaert, CBCS

Dans son dossier “Selfies associatifs : tensions et interpellations en temps de crises”, le magazine de l’interculturel Imag s’interroge sur le poids du non marchand. Avec cette conviction que la démocratie a besoin du monde associatif comme contre-pouvoir, la parole est donnée notamment à Jacques Moriau (CBCS/ULB) : il invite à réfléchir sur le projet politique de l’associatif et sur son action communautaire.

Des faits de violences se sont multipliés ces dernières semaines dans plusieurs services de première ligne bruxellois. Pour ces structures d’accueil, les bénéficiaires sont de plus en plus nombreux et de plus en plus précaires. Face à cette augmentation des demandes, les violences sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase, pour un secteur déjà en sous-effectif, ne pouvant assurer ni la sécurité de son personnel, ni celle des personnes qu’il accompagne.

Faute de moyens et de volonté politique, l’État ne répond pas présent sur tous les fronts. L’associatif et les citoyens prennent alors le relais. Pour autant, l’État peut-il prendre l’habitude de s’appuyer sur lui pour se décharger de ses missions ?

L’École de Transformation Sociale s’empare cette année, de la thématique “monoparentalité et petite enfance”, en réunissant différents types de savoirs (professionnel, académique, expérientiel) durant quatre journées.

Dans un Cahier de jurisprudence sur l’interdiction de la mendicité en Belgique, l’Institut fédéral des droits humains (IFDH) et le Service de lutte contre la pauvreté, la précarité et l’exclusion sociale affirment que les interdictions de mendier dans les 253 communes belges violent les droits humains.

La FEDITO BXL asbl vient de publier son mémorandum politique 2023. La fédération bruxelloise du secteur spécialisé en matière de drogues et addictions et ses membres souhaitent attirer l’attention des groupes politiques sur 7 points prioritaires.

La question des logements inoccupés est un sujet polémique qui s’inscrit dans le débat, plus large, de la crise du logement à Bruxelles. Le rapprochement entre les plus de 5 000 personnes sans-abri et le nombre de logements vides est fréquemment mis en avant par les associations, comme une évidente injustice et une solution à la « crise du logement ». Y’a-t-il vraiment assez de logements vides à Bruxelles pour reloger toutes les personnes sans-abri ?

La prison de Saint-Gilles a commencé à envoyer les détenus à raison d’une centaine par mois, à celle de Haren. Deux profils de détenus particulièrement vulnérables vont par contre rester entre ces murs : les détenus internés au sein des annexes psychiatriques et les personnes sans titre de séjour, quant à elles, resteront détenues à Saint-Gilles, dans une prison à l’état de vétusté inquiétant.
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