Dans la peau d’une assistante sociale : « (…) nous devons systématiquement nous tuer à la tâche (…) »

Une opinion de Coraline Caliman publiée le 09-09-20 sur le site web de la Libre

Dans la peau d’une assistante sociale : « Faisons-nous partie d’un monde où nous devons systématiquement nous tuer à la tâche ? »

Se tuer à la tâche, c’est bel et bien le lot de quantités de travailleurs sociaux. Associée à une profession aux prémices humanistes et humanisantes, l’expression peut choquer. Mais étant donné que la santé mentale de ces professionnels puisse avoir des répercussions sur la qualité de l’accompagnement, elle constitue un enjeu à part entière du travail social.

Aujourd’hui, tout le monde connaît (malheureusement) quelqu’un qui a souffert d’un burn-out. Mais si le terme devient de plus en plus familier depuis une petite décennie, il ne faudrait pas non plus le marginaliser. Aussi, bien que le secteur social soit souvent discrédité, il n’échappe pas aux néo-leitmotivs que sont le management, l’hyper-bureaucratisation et la digitalisation, conduisant à des professionnels en souffrance. Se tuer à la tâche, c’est bel et bien le lot de quantités de travailleurs sociaux. Associée à une profession aux prémices humanistes et humanisantes, l’expression peut choquer. Mais étant donné que la santé mentale de ces professionnels puisse avoir des répercussions sur la qualité de l’accompagnement, elle constitue un enjeu à part entière du travail social. (Lire l’article dans son intégralité sur le site de La Libre)

À lire également

Restez en
contact avec
nous

Si vous rencontrez des difficultés à nous joindre par téléphone, n’hésitez pas à nous laisser un message via ce formulaire

Je souhaites contacter directement :

Faites une recherche sur le site

Inscrivez vous à notre Newsletter

Soyez averti des nouveaux articles