Le travail social clandestin : devoir « bricoler » pour aider

Face au manque de place dans les hébergements d’urgence et les institutions spécialisées, face aux lourdeurs administratives, face à des procédures qui ne prennent pas en compte la réalité des gens et face à des guichets de plus en plus virtuels, inadaptés aux bénéficiaires qui n’entrent pas dans les cases, les travailleurs sociaux sont souvent obligés de bricoler.

Emission réalisée par le CAL dans le cadre de son émission Libres, ensemble, 21 janvier 2024

Quand l’administratif, la logistique, la politique prennent le pas sur l’humain, le travail social perd de sa substance. Pour pouvoir continuer à aider les personnes les plus précarisées, beaucoup de travailleuses et travailleurs du social en viennent donc à adopter des pratiques hors des clous, clandestines.

Invités : Catherine Bosquet, présidente du Comité de Vigilance en Travail Social et Maître-assistante à la Haute Ecole Bruxelles-Brabant, Naïm Lfahem, travailleur social dans un service d’Action en milieu ouvert bruxellois, et Renaud Maes, sociologue, professeur à l’Umons et UCLouvain.

Sur le même thème, en radio :

« Quand le travail social devient clandestin » , 4/10/2023, avec Marc Chambeau, Nia Poskin et Manu Droogné

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