
Fermeture de certains services de première ligne
Des faits de violences se sont multipliés ces dernières semaines dans plusieurs services de première ligne bruxellois. Pour ces structures d’accueil, les bénéficiaires sont de plus en plus nombreux et de plus en plus précaires. Face à cette augmentation des demandes, les violences sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase, pour un secteur déjà en sous-effectif, ne pouvant assurer ni la sécurité de son personnel, ni celle des personnes qu’il accompagne.