La politique des hotspots à Bruxelles est contre-productive
Face aux violences urbaines et au trafic de drogues, la Région bruxelloise précise sa méthode à l’échelle locale avec la création de 15 zones de déploiement prioritaires, dites “hotspots”. Un pas de plus, vers une vision sécuritaire, foulant aux pieds les recommandations du secteur associatif et pesant de manière disproportionnée sur les populations les plus vulnérables.