Education permanente : un capital symbolique négatif ?

« Le secteur de l’éducation permanente face à des questions brutales ». Analyse Intermag réalisée à la demande de la FESEFA (Fédération des Employeurs des Secteurs de l’Éducation permanente et de la Formation des Adultes). Par Jean Blairon.


Des inquiétudes pèsent sur le secteur, soumis à de fortes exigences en matière de production tout en n’étant pas subsidié à hauteur de cette quantité de productions. Un moratoire gèle désormais toutes les nouvelles reconnaissances.

D’aucuns parmi les autorités émettent des doutes sur l’utilité du secteur ; voire critiquent la quantité de productions, alors même que cette quantité est exigée et contrôlée. La première question qui se pose est donc celle du crédit dont jouit l’éducation permanente auprès des autorités : quel est exactement l’état de son capital symbolique, à l’ère du soupçon généralisé ?

Jean Blairon redit ici toute l’importance de l’action associative et des combats que l’éducation permanente porte et doit continuer à porter.

Lire l’analyse.

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