Fondé au printemps 2022 autour de valeurs et de réalités communes, KIOSQUE est composé de sept titres [1] et est appelé à grandir. Au nom de la liberté de la presse et de la défense de la justice sociale.
Pourquoi ce collectif ?
De façon diverse mais partagée, les sept titres belges vivent la domination et la concurrence déloyale des Gafam ; la transformation des habitudes d’achat et de lecture ; la diffusion de fake news et la défiance grandissante à l’égard des médias ; la détérioration inquiétante des conditions de travail des journalistes. Ils traversent aussi des difficultés socio-économiques sectorielles amplifiées depuis l’arrivée de la pandémie.
Leur ADN.
Un journalisme ancré dans la déontologie et la défense de la justice sociale par l’exposé des faits et la pertinence de l’analyse. Au quotidien, leurs titres de presse réalisent, avec humilité, mais exigence et conviction, un travail d’intérêt général qui nourrit le débat public.
La liberté de la presse est un principe démocratique fondamental et repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression. Mais derrière les principes et les intentions, il y a la réalité économique, sociale et journalistique de médias comme les leurs, très attachés à leur indépendance et à leur capacité d’agir et d’exercer leur métier avec force, passion et probité.
Leurs revendications
Nous voulons…
• Porter notre voix auprès du monde politique et dégager des scénarios économiques visant à préserver la liberté et la diversité de la presse.
• Nous renforcer collectivement, mutualiser ressources et services.
• Enrichir le débat démocratique, fortifier et restaurer la confiance qui lie citoyens, citoyennes et journalisme.
Retrouvez ici la lettre collective adressée ce 3 mai, Journée mondiale de la liberté de la presse, aux représentant·es politiques des différents niveaux de pouvoir, accompagnée de propositions concrètes et constructives.
Rendez-vous ce lundi 9 mai 2022 !
