Violences : quand la Police laisse les femmes en danger

Une étude de Vie Féminine documente la situation en Belgique


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Vie Féminine publie une étude qui documente la façon dont la Police belge accueille, accompagne et protège (ou pas) les femmes qui viennent dénoncer des violences machistes. Les témoignages alarmants recueillis en Wallonie et à Bruxelles viennent appuyer ce que les associations de terrain dénoncent depuis longtemps : les réponses inadéquates de la Police sont répandues, il s’agit d’un problème structurel et non de cas isolés.

Or, quand la Police ne joue pas son rôle face aux femmes victimes de violences, elle génère de nouvelles violences : celles qu’elle commet elle-même, quand elle n’accorde pas une reconnaissance légitime aux victimes, et celles de l’auteur des violences, qui se poursuivent en toute impunité. Mais elle émet aussi signal fort et indésirable à l’égard de la société : celui de la tolérance sociale des violences faites aux femmes.

S’arrêter sur le rôle de la police permet aussi de pointer des responsabilités à différents niveaux dans la façon dont la Belgique peine à lutter efficacement contre les violences faites aux femmes, notamment du côté de la justice et des pouvoirs publics. Des changements volontaristes, profonds et systématiques sont urgents et nécessaires !

•Pour consulter le communiqué de presse
•Pour consulter l’étude « Violences faites aux femmes : pourquoi la Police doit jouer son rôle »

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