
« Moi, plus tard, je serai… pair-aidant·e ! »
Peu de chance qu’un enfant prononce un jour cette phrase : « plus tard, je serai pair-aidant·e ! », comme il le dirait pour d’autres métiers. Devenir pair-aidant est rarement un choix initial mais bien le fruit « d’un parcours de vie douloureux, traumatique et stigmatisant. C’est une reprise de pouvoir sur sa vie », rappellent Sophie Céphale et France Dujardin, de l’AREV.