Carrefour. Du gouvernement des lois à la gouvernance par les nombres

Carte Blanche de Marc Sinnaeve, Chargé de cours d’Information économique et sociale à l’IHECS du 31/01/2018 publiée sur le site en ligne du journal l’Echo.


À la faveur d’un nouvel écosystème, impliquant interdépendances entre public et privé, l’État devient davantage administrateur et moins politique. Que peut-il encore quand une firme transnationale comme Carrefour décide de restructurer ?

Cette fois, c’est Carrefour. À chaque annonce d’une fermeture ou d’une restructuration importante d’une filiale de multinationale (Arcelor, Ford, Carrefour, Delhaize, Caterpillar, ING…), c’est le même exercice obligé. Les témoignages d’indignation ou d’étonnement auxquels se livrent chefs de gouvernement et ministres de l’Economie, constituent, déplore-t-on consensuellement (intéressés compris), la marque de l’impuissance des pouvoirs publics confrontés aux décisions des firmes transnationales d’ajuster la voilure aux  » évolutions du marché  » (comprendre : les reculs de la firme face à la concurrence).

Alors, tournez, manège et passez, muscade ? Pas si vite… (Lire l’article dans son intégralité sur le site de l’Echo)

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