Après cette crise du COVID-19 le risque d’un back to business as usual est grand. Renvoyé devant une responsabilité historique, le monde associatif, syndical et militant doit profiter de la situation et organiser la riposte. (…) C’est ce que défend Nabil Sheikh Hassan dans une analyse parue le 6 avril dans la Revue Politique
Une analyse socio-économique de la crise déclenchée par le COVID-19 montre que des conséquences à moyen terme pour l’emploi, la dégradation des finances publiques ou une contagion vers une crise financière sont possibles mais incertaines. À court terme, l’ampleur de la crise risque d’être aussi grande que celle de 2008, à la différence qu’elle commence dans l’économie réelle, en affectant autant la production que la consommation de biens et de services.
Quiconque souhaite une rupture dans les politiques socio-économiques menées ces dernières années espère que ce choc sera le point de départ d’une nouvelle ère. Un espoir ne suffit toutefois pas à transformer la réalité. (Lire l’article dans son intégralité sur le site de de Politique)